Etant donné son activité liée à la défense, l’organisation peut être la cible d’attaques venant d’acteurs étatiques, mais les frontières avec le cybercrime sont poreuses. En effet, son chiffre d’affaires annuel en fait également une cible pour des attaques par ransomware.
Protéger les postes de travail et les serveurs est donc une priorité dans la mesure où ce sont des points d’entrée privilégiés pour des acteurs malveillants.
“Jusqu’à l’arrivée de Windows XP, la tendance en matière de sécurité était de mettre en place pare-feu qui faisait office de château-fort pour protéger un parc informatique. Ce système d’exploitation aura marqué un tournant à partir duquel les attaquants ont commencé à viser les endpoints, notamment pour mener des attaques DDoS. Le pare-feu ne suffisait plus.
La protection des endpoints est alors devenue un sujet critique, et je n’ai jamais vu l’antivirus comme une solution qui pouvait couvrir tous les risques. Pour protéger efficacement des terminaux, j’ai la conviction que l’EDR est l’outil le mieux adapté.”
SOC Manager – Industrie de la défense